Oui, je vais vous parler de mon côté weirdo aujourd'hui. On en a tous un. Oui, toi aussi, fais pas semblant!
C'est cet article, déniché par mon chéri, qui m'a inspiré ce billet. Je crois être atteinte (plus légèrement que décrit dans le texte, quand même!) de misophonie. Tout ce qui s'apparente à un bruit de bouche me fait capoter. Mais VRAIMENT capoter! Premier trait weirdo.
J'ai un dédain des produits laitiers. J'adoooore le lait, le fromage, le yogourt, la crème glacée... mais j'ai plein de petites contraintes les entourant. La plus grande : impossible pour moi de partager un produit laitier. Ça m'écoeure, tout simplement. Ensuite, j'ai beaucoup de difficulté à finir un gros pot de yogourt. Le fond me dégoûte. Aussi, si j'ai le courage d'en finir un, mais que ma portion est insuffisante, je ne peux pas mélanger ce qu'il y a dans mon bol avec le yogourt d'un autre pot. Vous voyez le portrait?
J'ai peur de mon auto. En fait, j'ai peur des bris mécaniques. Dès que quelque chose fait un bruit étrange pendant que je roule ou dès qu'une odeur m'apparaît suspecte, je panique. Je me suis déjà surprise à me faire des scénarios dans lesquels je mourais à cause d'un bris mécanique. C'est à ce point-là.
Les napkins sales m'écoeurent. Ce qu'il peut y avoir autour de votre bouche et qui salira votre nakpin, ça aussi ça m'écoeure. Quand je défais la table, j'utilise ma serviette pour ramasser les autres. Ma mère avait l'habitude d'utiliser ma serviette de table si elle ne trouvait pas la sienne. ARK!
Alors c'est assez pour moi. À votre tour : quelles sont les habitudes de votre weirdo intérieur?
samedi 20 juillet 2013
jeudi 18 juillet 2013
WTF, internet?!
Sérieusement, j'ai du mal à comprendre comment ce genre de truc peut devenir viral. Internet, tu es encore plus tordu que je le croyais. Va te faire soigner.
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Chialage,
Vu sur le net
vendredi 12 juillet 2013
Psycho-pop : Être conscient de ses forces
Parce qu’on a toujours tendance à mettre le
focus sur le négatif lorsqu’on rencontre une difficulté, il faut savoir se
recentrer sur nos forces pour mieux les mobiliser. Il y a un petit truc bien
concret que j’aime utiliser pour y arriver : faire une liste de ces
forces. Par force, j’entends qualités, aptitudes, compétences, outils… bref,
tout ce qu’on possède et qui peut avoir un impact positif sur une situation.
J’ai utilisé cette stratégie à deux reprises déjà. La première fois, c’était pour aider une personne qui avait vécu une période difficile au travail et qui avait perdu sa confiance en soi. Je lui ai d’abord demandé de faire une liste des bons coups qu’elle avait réalisés durant cette période difficile et ensemble, nous avons fait ressortir les forces qu’elle a dû mettre à l’œuvre pour accomplir ces bons coups. La personne m’avait alors dit qu’elle avait complètement perdu de vue cette partie d’elle-même avant que nous la mettions sur papier.
La deuxième fois, j’ai décidé de goûter à ma propre cuisine. J’ai rencontré une difficulté qui m’a mise dans un état d’anxiété très intense, panique et tout le kit. J’ai pris trois grandes respirations et j’ai mis sur papiers les forces que j’ai et qui pouvaient m’aider à surmonter cette difficulté. Ça m’a fait beaucoup de bien et ça m’a permis de voir que j’allais m’en sortir, puisque j’avais tout ce qu’il me fallait.
C’est donc le premier truc que j’ai envie de vous donner. Lorsque vous vous sentez envahis par le négatif, que vous vous dévalorisez ou que vous avez l’impression que vous ne pourrez pas vous sortir d’une situation, écrivez une liste de vos forces. Ça ne règle pas les problèmes, mais vous les aborderez certainement avec un œil plus confiant!
J’ai utilisé cette stratégie à deux reprises déjà. La première fois, c’était pour aider une personne qui avait vécu une période difficile au travail et qui avait perdu sa confiance en soi. Je lui ai d’abord demandé de faire une liste des bons coups qu’elle avait réalisés durant cette période difficile et ensemble, nous avons fait ressortir les forces qu’elle a dû mettre à l’œuvre pour accomplir ces bons coups. La personne m’avait alors dit qu’elle avait complètement perdu de vue cette partie d’elle-même avant que nous la mettions sur papier.
La deuxième fois, j’ai décidé de goûter à ma propre cuisine. J’ai rencontré une difficulté qui m’a mise dans un état d’anxiété très intense, panique et tout le kit. J’ai pris trois grandes respirations et j’ai mis sur papiers les forces que j’ai et qui pouvaient m’aider à surmonter cette difficulté. Ça m’a fait beaucoup de bien et ça m’a permis de voir que j’allais m’en sortir, puisque j’avais tout ce qu’il me fallait.
C’est donc le premier truc que j’ai envie de vous donner. Lorsque vous vous sentez envahis par le négatif, que vous vous dévalorisez ou que vous avez l’impression que vous ne pourrez pas vous sortir d’une situation, écrivez une liste de vos forces. Ça ne règle pas les problèmes, mais vous les aborderez certainement avec un œil plus confiant!
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Psycho-pop
jeudi 11 juillet 2013
Une revenante!
Un an après
la fin de mes études, je me retrouve avec un petit manque dans ma vie : l’écriture.
Alors, me suis-je dit, quelle meilleure façon de combler ce vide qu’en faisant
revivre cet espace. Je reviendrai donc de temps à autres raconter mes péripéties
et partager mes réflexions.
Étant une
professionnelle de la santé mentale, ainsi qu’une anxieuse de haut calibre, je
ferai aussi quelques capsules de style psycho-pop, basées sur mes expériences d’intervention
et d’autogestion, en espérant que ça aidera certains d’entre vous.
D’ailleurs,
je pratique maintenant le travail social depuis un peu plus d’un an. Année qui
a passé très vite, où j’ai énormément appris sur moi et sur les humains en
général. Année où j’ai eu la confirmation que je suis à ma place, dans un
domaine qui me passionne. Année remplie de belles et de moins belles
rencontres, tantôt touchantes, tantôt comiques ou étranges. Année où j’ai senti
que je pouvais faire une différence dans la vie des gens, raison qui m’avait
poussée à choisir cette voie au départ. Année aussi où j’ai dû travailler très
fort sur mon anxiété et sur ma confiance en moi, où j’ai dû combattre ce
sentiment de l’imposteur, qui se pointe encore le nez de temps en temps. Année
où je me suis lancée dans des projets de grande personne, comme acheter une
auto et un condo.
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